« Alors c'est quoi ton petit pseudo : tagada, mon général , sinon tu as quel âge : 16 ans, je peux conduire une voiture si j'veux   et tu viens d’où France , non reviens ne pars pas encore, j'ai des questions, tu l'as connu où le forum : bazzart le magnifique . D'accord ! D'accord ! Continuons, as-tu des choses à dire sur le forum ? Tu l'aimes ? : Oui, jolèème   . Une autre question et après j'ai fini, tu vas te connecter combien de fois par semaine : tous les jours en vacances, 3 fois minimum sinon . »

bracelet; Celui qui le verrais pour la première fois ne saurait absolument pas ce que c'est. Il a un aspect particulièrement banal, une simple ficelle brune. Mais celle-ci me permet de toujours retrouver mon chemin, vers un endroit où je suis en sécurité. Un peu comme un ange gardien qui montrerait le bon chemin.

poignard; Je possède aussi un poignard entièrement taillé dans du bronze céleste que j'ai trouvé dans la réserve du camp. Un caducée est gravé sur le manche, signe qu'il a appartenu à un ancien héros, fils d'Hermès. Au vu de ma petite taille, c'est une des seules armes que j'arrive à utiliser à peu près correctement. De toute façon, je ne suis pas faites pour les combats mais pour l'espionnage et le vol.

"Ok, t'as compris ? Ta présentation doit pas faire plus de 30 secondes, histoire que..."
"Tu la démarres quand ta machine, j'ai pas que ça à faire !"
"Oublies pas, pas plus de..."
"C'est bon, je crois que j'ai pigé merde !"
"Pas la peine d'être vulgaire ! Bon... 3, 2, 1, Action !"

Bonjour à tous ! Ou peut-être bonsoir, j'en sais rien. On s'en fout en fait. Bref... je m'appelle Sawyer Blueberry Dawson mais appelez-moi Blue, ça ira plus vite. Je suis née à Chicago, la troisième plus grande ville des Etats-Unis, eh ouais ! J'y ai vécu jusqu'à ce qu'une harpie viennes toquer à ma porte. A ce moment-là, je venais juste de commencer mon petit-dej' (non, en fait je l'ai jamais commencé, c'est dire à quel point cette femme-pigeon m'a sérieusement tapé sur les nerfs) et je tentais désespérément d'oublier mes parents juste à côté de moi. Ils allaient se marier dans deux semaines et c'était genre THE évènement important de l'année. De toute leur vie, même. Alors, ils en parlaient tout le temps. Et quand je dis tout le temps, c'est le matin, le soir, en mangeant, en dormant et même aux toilettes ! Ce qu'ils avaient oublié, c'est qu'à douze ans, toutes ces histoires de mariage, de robe, de fleurs et d'invités ne m’intéressaient pas le moins du monde. Attention, j'étais heureuse pour ma mère. Vraiment très heureuse. Mon futur beau-père était quelqu'un de bien (autant qu'un dentiste peut l'être), je le connaissais depuis toute petite étant donné qu'il était le meilleure ami de ma mère. Le fait de l'appeler "papa" était une chose naturelle, comme de respirer ou de vomir de dégoût face à ma robe de demoiselle d'honneur. Je dois dire qu'à ce moment-là, je ne savais pas qui était mon père. Je ne l'avais jamais vu, ni en photo, ni in real life. Cela avait donc grandement aidé à l'acceptation de Roger dans la famille. Et j'étais heureuse. Malgré mon indifférence, mes soupirs ou mes crises de colère. Et, en mon fond intérieur, j'aurais voulu que rien ne changeasses jamais. 

Evidemment, ce fut en plein moment de réflexion purement philosophique qu'un monstre est venu saccager tout mon appartement. La porte a volé en éclat et une tempête, surgissant dont ne sais où, a envoyé balader les chaises et la table. Et là, une vieille mamie bizarre est apparue, avec des ailes dans le dos et des serres. Et ce truc s'est jeté sur nous. J'ai à peine eu le temps de penser à m'écarter que déjà, je me trouvais à l'autre bout de la pièce, près de la porte. UC.